Pendant l'occupation, les Allemands avaient transformé la chambre des députés en siège administratif du " gross Paris" et utilisés le stock d'enveloppes trouvé sur place.En tant qu'occupant , les allemands s'étaient bien évidement arroger le bénéfice de la franchise, mais je n'ai pas trouvé de texte concernant les pneumatiques.Le premier est simplement libellé Lange, 100 rue de la convention, il a circulé en franchise, soit par ignorance ou bien que l'on n'est pas osé réclamer une taxe si le destinataire était Allemand.
Le second est malgré son triste état est bien plus intéressant mais je voudrais rappeler deux points de réglementation, hormis les cas de franchise un pneumatique non affranchi était versé au service postal donc traité comme une simple lettre, pour bénéficier du service pneumatique le plis devait comporter au moins la moitié de la taxe normale et était depuis août 1926 taxé au double de l'insuffisance. Cependant ce dernier est en complète contradiction avec la réglementation est a bénéficié du traitement particulier de la simple taxe, un cas sur mesure, soit la poste française n'a pas voulu léser les destinataires mais à néanmoins voulu se faire rétribuer quand c'était possible le service rendu. Un autre exemple existe toujours du même expéditeur et taxé en simple taxe à l'aide de timbres Pétain transformés en taxe.Si vous avez des compléments d'informations ou des commentaires, je serais heureux de vous lire.
Le second est malgré son triste état est bien plus intéressant mais je voudrais rappeler deux points de réglementation, hormis les cas de franchise un pneumatique non affranchi était versé au service postal donc traité comme une simple lettre, pour bénéficier du service pneumatique le plis devait comporter au moins la moitié de la taxe normale et était depuis août 1926 taxé au double de l'insuffisance. Cependant ce dernier est en complète contradiction avec la réglementation est a bénéficié du traitement particulier de la simple taxe, un cas sur mesure, soit la poste française n'a pas voulu léser les destinataires mais à néanmoins voulu se faire rétribuer quand c'était possible le service rendu. Un autre exemple existe toujours du même expéditeur et taxé en simple taxe à l'aide de timbres Pétain transformés en taxe.Si vous avez des compléments d'informations ou des commentaires, je serais heureux de vous lire.
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